Articles

Affichage des articles du décembre, 2009

J’ai toujours voulu être une fille hirondelle

Image
J’ai toujours voulu être une fille hirondelle REPRÉSENTATIONS POUR TOUS LES PUBLICs Samedi 19 décembre à 19h30 et Dimanche 20 décembre à 14h00 Au Petit Théâtre de l’Université du Québec à Chicoutimi ENTRÉE LIBRE: Théâtre jeune public à partir de 8 ans jusqu’à… Une jeune fille dont le seul rêve est de s’envoler derrière les océans et de découvrir ce qui se cache derrière l’horizon nous fait vivre ses premiers pas hors du cocon familial. À la maison, reste la mère nous racontant son difficile travail de maman devant laisser son petit papillon s’envoler. À travers un dialogue mère et fille, nous découvrons l’histoire d’une jeune fille téméraire à la conquête du monde, affrontant l’inconnu et arpentant la jungle, la folie de la ville et la démesure des montagnes pour découvrir ce qui se cache vraiment au fond de son cœur. J’ai toujours voulu être une fille hirondelle c’est l’aventure initiatique d’une jeune fille qui cherche son chemin dans une véritable explosion de paysages, de couleurs

Invitation des étudiants d’Histoire du Design

Image
Objets de Souche Des Étudiants d’Histoire du Design Vernissage Le lundi 14 décembre à partir de 17h Mettre en valeur et capturer l’objet de souche, l’objet patrimonial, c’est la tâche à laquelle se sont attachés les treize étudiants du cours d’histoire du design en collaboration avec leur professeur Sarah-Emmanuelle Brassard. D’abord un projet de recherche, Louis-Philip Allard-Lafrance, Justine Bourdages, Diana-Cadélia Charles, Mylaine Dalpé, Joanna De Champlain, Isabelle Dorval, Valérie Essiambre, Audrey Girard-Gagnon, Catherine Lessage, Isabelle Marchand, François Robert, Sylvain Thériault et Marianne Tremblay le transforment, le transposent en œuvre qu’ils vous invitent à partager. L’objet de souche, celui qui est à la base de l’arbre, celui d’où découle l’histoire. L’objet de souche qui expose le souvenir alors qu’on en compte les cercles concentriques. Cet événement collectif prenant place au Presbytère de l’église Sacré-Cœur de Chicoutimi au 240 rue Bossé, Quartier du Bassin, vou

Protée Touche

Image
Luc Vaillancourt, photo du centre, et Guy Blackburn en compagnie de Nicholas Pitre, au micro.

Lancements

Image
L’Œuvre de l’Autre, le centre d’exposition de l’UQAC a le plaisir de vous inviter au lancement du plus récent numéro de la revue Protée, Regards croisés sur les images scientifiques, et de la publication de Guy Blackburn Touche édité par le Centre Sagamie, Jeudi le 10 décembre 2009 à midi. Seront également présents, monsieur Luc Vaillancourt, professeur au département des arts et lettres de l’UQAC et directeur de la revue Protée, Guy Blackburn artiste et chargé de cours à l’UQAC ainsi que de Nicholas Pitre directeur du Centre Sagamie ainsi que Madame Christine Martel, auteure.

Avant le vernissage

Image
Séance de photo avant le vernissage Les frontières invisibles en compagnie des étudiants chercheurs es arts et de leur professeur. De gauche à droite: Marie-Hélène Doré, Guillaume Ouellet, Luis Felipe, Ortega, Pierre Tremblay-Thériaut, Jessika Morin, Anick Martel, Sylvie Martin, Alexandre Rufin, Érika Brisson et Marcel Marois.

FRONTIÈRES INVISIBLES

Là où passe la frontière invisible, on ne sait pas qu’il y a un autre côté. Nous sommes des coureurs dans l’immobile, pourtant il y a un autre côté, il y a un mouvement très pur tout à côté, nous ne pouvons pas mobiliser l’imagination assez pour le soupçonner. Peut-être est-ce un mouvement en nous-mêmes, un tumulte de puissances intérieures. Cependant, nous ne parvenons à arrêter les choses autour de nous qu’au prix d’une passivité envers nous-mêmes, comme vivants. Pourtant, lorsque nous faisons de l’art , c’est ce mouvement qui peint, récite, cadre, sculpte, résonne … pour psychiser l’univers et l’absorber dans nos images. Parfois nous croyons apercevoir un tracé scintillant, une agonie de la lumière à la frontière - c’est parce que nous avons conduit notre monde à la contradiction, nous avons introduit l’irreprésentable dans nos équations, nous avons pris le parti de commencer par l’impossible. Nous cherchons la frontière partout, elle passe par chaque mot : est-ce votre sens ou le