Articles

Affichage des articles du janvier, 2010

Mirka en Asie

Image
Il est intéressant de savoir ce que nos anciens étudiants deviennent. Voici, en exclusivité sur le blog de la Galerie, les carnets de voyage de Mirka Maltais, étudiante graduée du Bia en 2009. Elle m’avait proposé de me faire suivre ses messages afin de nous permettre de voyager nous aussi à travers ses dessins. Ça vient tout juste de me parvenir, je vous en fais profiter : «Bonjour à tous!! Me voici en Asie depuis bientôt 2 semaines, je crois... Le temps a une valeur autre en voyage... Je suis présentement sur une île paradisiaque au large de la côte est de la Thaïlande, nommée Koh Pha Ngan. Je reviens d'une autre île nommée Koh Tao où j’ai fait de la plongée et vu le monde marin... magnifique!! Je me "gargarise les yeux" de ces paysages à couper le souffle!! je goûte le sel sur ma peau de cette eau limpide qui me pique les yeux je sens le vent parfumé, apaisant sur ma peau humide j’entends les vagues se fracasser sur les rochers au loin Mes sens sont en éveil...co

À lire

Image
À lire dans l'édition du Voir Saguenay du 21 janvier dernier, l'article De briques et de blocs , signé Barbara Garant.

Vernissage

Image
Spectateurs attentifs lors de la présentation de François Simard lors de son vernissage.

C'est reparti!

Image
Des briques dans la grille de François Simard Vernissage mercredi le 13 janvier 2010 à 17h. «Les six tableaux se donnent comme point de départ une grille se référant à un mode de représentation d’un objet construit: la brique ou le bloc. Ce dernier, archétype de l’élément architectural de base, devient prétexte à introduire la notion de perspective en peinture par la répétition d’un élément qui suggère une vue tridimensionnelle d’un objet. Dans des travaux précédents, j’ai souvent mis en contexte des objets peints (taches, formes floues, motifs, etc.) par l’affirmation d’un paysage indiquant que ceux-ci se trouvent soit au sol, dans les airs ou simplement sur une surface peinte. Des objets prennent sens par la valeur de représentation de leur contexte. Pour cette exposition, j’applique le processus inverse. Ainsi, les objets sont nommés dès le départ. Leur implication spatiale n’est pas en attente d’une décision concernant le contexte dans lequel ils sont posés. Ils s’affirment comme é